Vos nouveaux élus CFDT du CSE SHRS ont été convoqués à la première réunion de la nouvelle mandature.

directement sur leurs adresses mails professionnelles
Le blog de la section CFDT d'Axway
La CFDT vous représente, négocie et obtient de nouveaux droits qui
améliorent votre quotidien.
Une nouvelle alliance majoritaire a été
constituée regroupant les syndicats CFDT –
Solidaires/CGT – Avenir et UNSA qui permettra enfin aux élus de porter aux
débats les sujets primordiaux dans l’intérêt des salariés.
Ce premier CSE augure déjà bien des changements, à commencer
par l’élection historique de la première femme
secrétaire de cette instance à Sopra Steria Group.
Nous sommes d’autant plus heureux puisqu'il s’agit d’une élue CFDT : nous adressons toutes
nos félicitations à Nathalie LACASSAGNE !
![]() Élue Titulaire Secrétaire du CSE Membre des commissions : - Orientations stratégiques - Sociale - ASC Toulouse, Albi, Rodez |
![]() Élu titulaire Membre titulaire du CSEC Membre des commissions : - SSCT - Budget et définition des règles ASC
AEP - Voyages |
![]() Élue Titulaire Membre des commissions : - SSCT - Sociale - Vacances et événements nationaux - ASC Paris-Rouen |
Président de la commission ASC Bordeaux, Pau, Niort Membre de la commission Politique sociale, emploi et égalité professionnelle
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![]() Élue Titulaire Présidente de la Commission Sociale Membre des commissions : - Politique sociale, emploi et égalité professionnelle - Marchés
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Élu titulaire Président de la commission des Marchés Membre des commissions : - Budget et définition des règles ASC AEP - Sociale - Vacances et événements nationaux - ASC Paris-Rouen |
![]() Élu Suppléant Membre des commissions :
- Orientations stratégiques - Budget et définition des règles ASC
AEP - ASC Bordeaux, Pau, Niort |
![]()
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![]() Élu Suppléant Membre des commissions : - SSCT - Développement des compétences - Commission Voyages - ASC Toulouse, Albi, Rodez
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Élue Suppléante Membre des commissions : - Développement des compétences - Vacances et événements nationaux - Voyages - ASC Paris-Rouen |
On arrive en fin d’annÉe,
PRENEZ VOS RTT !!!
670 jours de RTT 2022 et 265 JRS 2022 =
935 jours PERDUS !!
=
3 temps pleins
GRATUITS pour l'entreprise !
Petit historique
Même si l'on veut vous faire croire autre chose, rappelez-vous, c’est la CFDT qui a abordé sans relâche ce sujet en NAO avant 2011, et qui a enfin obtenu la signature d’un accord en 2011 sur SSG.
Grâce à ce premier accord (2012-2013-2014), Sopra Steria a pu se doter d’une « Mission Handicap » avec des salariés dédiés à cette question afin d’agir dans l’entreprise et en dehors pour favoriser l’accès et le maintien dans l’emploi des salariés en situation de handicap.
Le bilan positif de ce premier accord, et les améliorations négociées par la CFDT, ont abouti à notre signature du second accord (2015-2016-2017). Il en a été de même pour le troisième accord (2018-2019-2020).
Ces trois premiers accords Handicap ne concernaient que les sociétés de l’UES.
Le quatrième accord (2021-2022-2023) et le cinquième accord (2024-2025-2026) sont de niveau Groupe.
Les avancées
N°39
10 OCTOBRE 2023
PROJET DE LOI POUR LE PLEIN EMPLOI
Réforme du RSA : une atteinte à la solidarité
nationale
L’Assemblée nationale procédera en fin de journée au
vote solennel sur le projet de loi pour le Plein Emploi pour une promulgation à
la fin du mois.
Pour la CFDT, ce projet de loi ne
remplit pas la promesse d’un meilleur accompagnement vers un emploi durable et
de qualité. En effet, ni la gouvernance du projet ni les moyens dédiés ne sont
à la hauteur des ambitions. La CFDT est particulièrement inquiète pour les plus
précaires. Alors que l’inflation ne fléchit pas, notamment sur les produits
alimentaires, le projet de loi pour le plein emploi durcit les conditions
d’accès au RSA en augmentant les obligations et les sanctions des allocataires.
Inscription automatique des allocataires sur la
liste des demandeurs d’emploi, ainsi que leur conjoint, obligation des 15
heures d’activités, alors que la notion d’activité est toujours floue,
nouvelles sanctions pour les allocataires notamment la suspension de l’allocation : toutes ces nouvelles contraintes vont encore
fragiliser les plus précaires et aggraver le non-recours. À l’heure où les associations de solidarité tirent la
sonnette d’alarme, ces durcissements sont insupportables.
La CFDT souhaite rappeler que si
l’objectif de plein-emploi est souhaitable et partagé, il ne sera pas atteint
en stigmatisant ou en durcissant les conditions de vie des personnes les plus
précaires.
Lors de la réunion de négociation de la Branche du 28 septembre dernier, les
Organisations syndicales majoritaires de la branche des bureaux d’études
techniques (CFDT, CFECGC et CGT) ont refusé de signer l’Accord relatif aux
minima conventionnels proposé par la délégation patronale Syntec-Cinov.
Cet Accord est très loin des propositions faites par les Organisations
syndicales. Il ne tient notamment pas compte du partage des richesses dans la
Branche. L’inflation augmente, les dividendes au sein des grandes entreprises
aussi…mais les minima conventionnels de la branche : non !
La grille de classification comporte encore deux niveaux sous le SMIC…un
comble pour une Branche qui ne se trouve pas en difficulté économique, et dont
le patronat se plaint tellement du manque d’attractivité auprès des pouvoirs publics
qu’il négocie des aides au recrutement.
L’Accord mis à signature est inacceptable quant à sa non- reconnaissance du
travail des salariés. Les Organisations syndicales ne cautionnent donc pas les
propositions indécentes faites, qu’il s’agisse du niveau des augmentations
octroyées ou du tassement des grilles décidé unilatéralement. Selon la
proposition patronale, le premier niveau Cadre s’établirait à 2 133 € soit un
écart avec le Plafond Mensuel de la Sécurité Sociale (niveau établissant le
niveau Cadre pour les cotisations sociales, à 3 666 € pour 2023) de plus de 1
500 €.
La CFDT, la CFE-CGC et la CGT appellent à la mobilisation intersyndicale,
organisée par la Confédération Européenne des syndicats, le 13 octobre
prochain. Le partage de la richesse, le pouvoir d’achat, l’égalité salariale
entre les femmes et les hommes sont au cœur de nos revendications nationales et
européennes. N’hésitez pas à nous rejoindre ! Venez nombreux !
Le 04 octobre 2023.
Pour les sociétés de l'UES : Sopra Steria Group, Axway, Sopra Banking Software, SHRS et I2S, la CFDT est la seule à compiler et comparer les données des augmentations depuis 5 ans :
Pour que nous puissions continuer ce travail, votez CFDT en novembre 2023 !
La santé économique de l’entreprise n’a jamais été aussi bonne, et les augmentations de juillet n’ont jamais été aussi faibles !!!
La rémunération de
Pierre Pasquier est de 834 509€ en 2022 pour ces rôles dans le
groupe.
En
augmentation constante : en 10 ans, sa
rémunération connue a augmenté de près d’1/4 ! (+22%) (En ne prenant que les rémunérations
connues d'Axway, SSG et GMT).
Vos
Élus
CFDT ont calculÉ que
le salaire mÉdian*
des salariÉs
n’a augmentÉ,
lui, que de 11% en 10 ans,
dommage !
(Pour les salariés de la société mère Sopra Steria)
*Le salaire médian étant « au milieu » des salaires
de l’entreprise : Il s’agit du montant de salaire qui sépare les
travailleurs en deux groupes égaux : la moitié d’entre eux gagne moins que le
salaire médian, tandis que l’autre moitié gagne plus. Contrairement au salaire
moyen, qui peut être biaisé par les salaires très élevés, le salaire médian
donne une image plus représentative de la répartition de la rémunération dans
une population donnée.
Dividendes reçus et fortune :
Pour les dividendes perçus, en 2023 la famille Pasquier a reçu plus de 12,3 Millions d’€ de dividendes de SSG et 1,2Millions d’€ d’Axway sur les résultats de 2022. En 2022, la famille Pasquier a reçu 10,4M€ de dividendes (Bonnes vacances ! Mais pas les mêmes pour tous : prime vacances et dividendes...). En 2021 c’était 7 millions de dividendes (Montant de l'Intéressement - Dividendes (sur les résultats 2020 versé en 2021) : "un grand merci" P.P.)…
En 10 ans, la fortune de Pierre Pasquier a été multipliée par 3 ! (190M€ en 2013) (Pierre Pasquier : 237ème fortune de France !) Le président du groupe Sopra Steria, Pierre Pasquier, a la 237ème plus grosse fortune de France avec 575 millions d’€ en 2023.
VOUS APPRÉCIEZ NOS ARTICLES ? VOUS APPRÉCIEZ AVOIR DE
L’INFORMATION ? VOTEZ CFDT en
novembre 2023 POUR NOUS PERMETTRE DE CONTINUER CE TRAVAIL ET D'EN FAIRE ENCORE
PLUS POUR VOUS !
Sous couvert de "simplification" de l'accès au RSA et à la prime d'activité, le montant net social (nouvellement apparu sur les bulletins de salaire) diminue l'accès à ces aides !
montant net social
La CFDT alerte sur les conséquences
pour les plus précaires
Pour simplifier l’accès aux droits
et le calcul des aides sociales, le gouvernement a décidé de faire porter sur
le bulletin de salaire une nouvelle ligne : le montant net social, montant qui servira de base à tous les calculs d’aide sociale. Il
servira d’indicateur pour calculer des prestations sociales délivrées par la
branche famille comme la prime d’activité et le RSA basées sur des
plafonds.
L’obligation de déclaration sera effective au 1er janvier 2024 et devait faciliter l’accès aux droits.
Toutefois, dans sa mise en œuvre,
le gouvernement a décidé par décret d’y intégrer des montants d’aides diverses
délivrées par les entreprises. Ainsi, des
militants CFDT ont identifié que ce montant net social inclut des prestations
sociales telles que la prévoyance complémentaire obtenue par des négociations
au sein d’une branche professionnelle ou d’une entreprise, tout comme des CESU
garde d’enfants ou autre avantage en nature…
De ce fait le montant des
ressources déclarées augmente, faisant potentiellement significativement
baisser le montant des prestations sociales associées.
Sur le fond, l’injustice est
particulièrement grande pour les plus bas niveaux de rémunération. Par exemple
le fait pour une branche de bénéficier d’un très bon contrat collectif prévoyance
n’a que des effets positifs sur les salariés qui ne bénéficient pas d’aides
sociales. En revanche, « cet avantage » négocié par les partenaires
sociaux de la branche viendra amputer les prestations sociales des salariés les
moins bien rémunérés. Et l’intérêt bien réel de bénéficier d’une bonne prime
décès ne compense pas une diminution de la prime d’activité ou du RSA : cela
ne permet pas, par exemple, d’acheter à manger !
Pour la CFDT, cela serait particulièrement injuste et brutal dans un contexte de tensions sociales, d’inflation et de difficultés croissantes à subvenir à ses besoins, notamment pour les bas salaires.
Ainsi nous avons le cas de Martine,
une salariée avec un net à payer avant impôt de 1599 euros et un net social qui
s'élève à 1765 euros. Ceci entraîne une perte notable sur sa prime d’activité
qui passerait alors de 144 €/mois avant impôts à 79 €/mois avec le net social,
soit une perte de pouvoir d’achat de 65 euros par mois ! C’est extrêmement
brutal.
Pour la CFDT, il est indispensable de reconsidérer le montant net social en excluant certains éléments comme la prévoyance, les CESU garde d’enfants etc. Les travailleurs précaires ne doivent pas être victimes d’une aberration administrative. Même en période de tension budgétaire, la CFDT refuse de leur faire revivre la réforme catastrophique des APL !